Comptes-rendus des séjours

Randonnée en Anjou des 15 et 16 septembre 2018 

Trés bon début : Oh !!! la paella de Josette et ses marmitons . Que c'est merveilleux, quel plat convivial arrosé de sangria et de rosé. Nous garderons longtemps en bouche le goût de tes épices. Merci à toi, Josette qui est...extraordinaire (sic Loïc).

La nuit qui a suivi s'est bien passée dans les quatre dortoirs sauf celui des sept nains. Blanche-Neige étant de sortie pour dégotter le prince charmant, les sept nains ; Simplet, Dormeur, Grincheux, Prof, Atchoum, Joyeux et Timide se sont déchaînés. Un concert a étè improvisé avec comme instrument le ronflement. Il a été interprété pendant une bonne partie de la nuit. Aucun participant extérieur n'a pu l'apprécier. Et nous avons cherché longuement qui pouvait être Grincheux ?

Mais cela n'a pas empêché le départ vers 9 h de la rando du jour. Beau temps avec des montgolfières dans un ciel limpide comme celui de Saumur Champigny ( ce n'est pas le moment de consommer ! ).

Départ de la Sansonnière pour 17 km en ce dimanche de visite des monuments historiques.

Nous avons découvert le dolmen de la Bajoulière qui aurait un poids estimé de 70 tonnes. La dalle s'est fendue en quatre morceaux au siècle dernier suite à un effondrement des piliers ou de l'action de la foudre. A noter que ce lieu aurait servi de chapelle au XII° siècle .



Le prieuré de Saint Georges, superbement restauré,  date dans son aspect actuel des XII° et XIII° siècles.


Tout près,l'éolienne classée (1888/9) d'Ernest Bollée a été installée pour extraire l’eau  à une profondeur de 35m . L'eau servait à alimenter gens et bêtes de la ferme voisine.

Mobylette bleue, panneau Texaco et plaque Michelin se trouvent sur le même périmètre.

Le moulin de la Lussière daté de 1836 possède une cave troglodytique et une maçonnerie en pierre de tuffeau appareillée. Grâce aux propriétaires passionnés qui le restaurent, le toit tournant a retrouvé ses ailes doté d'une voilure de planches blanches qui s 'ouvrent grâce au système « Berton ».

Nous sommes passés près du menhir et du dolmen des Varennes de Cumeray sans trop les découvrir mais ils existent.

Un repas commun avec reste de paella a été partagé et une partie des randonneurs est rentrée sur Nantes.
 Ah !! l'être humain n'aime pas la séparation quand la bienveillance et la convivialité sont présentes.
Nous repartons et glanons oignons et persil dans les champs labourés. Le soleil nous accompagne toujours, derniers kilomètres et nous revenons à la Sansonniére, dernier pipi, bises après lavage des mains et retour.

 Et à bientôt sur les chemins de randonnée.

Josette et Bernard Blanc

WEEK-END   A   SENE   MORBIHAN   EN   MOBIL-HOME   CAMPING   CANTIZAC

Vendredi 16/9/16
Nous nous retrouvons à 6 et 2 voitures dans 2 mobil-home de 4 places au camping vers 17h30. A 19h30 nous allons diner à la crêperie dans le centre de Séné. Nous revenons de nuit et prenons 1 tisane dans 1 des mobil-home avant d’aller tous se coucher. 

Samedi 17/09/16
Lever vers 7h30. Claude et Marc vont mettre la voiture de Claude à 3km après le pique-nique, Marc le ramène, le tout en 20 minutes. Le premier arrivé est Yannick, les autres se succèdent. Les repas des nouveaux arrivants sont mis dans les frigos des 2 mobil-home de 4 ; ceux de 6 n’étant disponibles que ce soir. A 9 h15, nous sommes 18 à partir à pied du camping. Il fait gris, la mer est haute. Catherine donne les consignes, 2 groupes se forment assez vite, mais tout le monde respecte les consignes. Il y a un très bel éclairage sur les marais avec le soleil sur l’horizon. Arrêt juste après Barrarak, sur un promontoire. On voit passer plusieurs bateaux anciens, notamment une yole de Bantry. Catherine offre les biscuits achetés la veille à la biscuiterie Ker Lann à Muzillac. Nous allons vers Port Anna. Les nuages disparaissent pour laisser place au soleil jusqu’à la fin de la journée. Nous allons jusqu’à la pointe du Bil où l’on s’arrête pour le pique-nique, au soleil ou à l’ombre selon affinités. Marc, Yannick, Solange, Brigitte, vont ramasser des huitres et des palourdes, la mer est descendue. On repart vers 13 h 45. Arrivés à la voiture déposée le matin, Henri, Brigitte, Martine et Dominique sont emmenés par Claude directement à l’entrée de la presqu’ile de Péchit pour en faire le tour. Les autres font toute la boucle à pied. Les 5 en voiture rentrent en passant visiter Séné, ils montent dans le clocher. Ceux qui font tout le circuit à pied arrivent avant eux au camping. Claude paie les cautions et prend les clés des 2 autres mobil-home. Marc et Dany vont à la piscine à jets, bulles. 18h30 les Michels arrivent et s’installent rapidement. 19h on commence à s’installer dans la salle. Avec notre apéro maison fait de vin de laurier  palme, il y a profusion d’accompagnements plus les plats cuisinés par certains c’est l’abondance. Coucher vers 23 h.

Dimanche 18/9/16

Réveil 7h. Nous nous retrouvons sur le parking à 8h30 pour aller tous au point de départ de la rando, château de Bot Spernen. Les chauffeurs vont tous à Cano déposer les voitures, Claude et Marc ramènent les chauffeurs. Les Michels, qui sont restés pour l’inventaire des mobil-home à 9h, arrivent juste avant. Nous commençons la rando à 9h30. 

                                                          Yole de Bantry

Le ciel reste gris-blanc avec peu d’éclaircies toute la journée. C’est Michel qui mène la rando en tête, nous ne faisons pas vraiment 2 groupes mais des arrêts regroupement. Par moment le groupe s’étire et je reste souvent derrière. Pause en-cas tous ensemble, je ressors les gâteaux de Ker Lan. Arrivés à Cano, Dominique et Martine rejoignent les voitures pendant que tous les autres font la boucle supplémentaire. Le « bayou » a une toute autre allure, il est recouvert de lentilles vert clair et ainsi plus lumineux et moins lugubre qu’en juin. Nous sommes de retour aux voitures avant 13h. Henri ramène les 3 chauffeurs au point de départ et reviennent à 4 voitures. Nous pique-niquons sur le champ de courses tous ensemble. Marc et Dany rentrent avec Chantal aussitôt après. Les autres vont à l’observatoire de la réserve de Falguérec ouvert pour la journée du patrimoine. Isabelle, Catherine et Marie-Noelle repartent. Henri, Brigitte, Monique et Dominique font un petit bout du parcours sur place pour se dégourdir les jambes. 3 voitures : les Michels, nous et Martine François Loïc Solange allons faire notre parcours à partir de Brouel. Il y a quelqu’un au 1er observatoire en plein air pour nous expliquer. On voit des spatules et un balbuzard. Nous poursuivons au 2ème observatoire où il n’y a plus personne. Au parking des voitures les Michels repartent. Nous allons à la ferme pour des produits laitiers bio mais il n’y a personne. Les 2 dernières voitures repartent après un agréable week-end.

Catherine





SEJOUR RAQUETTES LA TAIGA VERCORS JANVIER 2016


Participants : 2  Valin, 2  Deniaud, 2 Levent, 2  Raison, Marie-Laure Fleury, Martine Monot, Monique Tessier, Marie-Françoise Kerever, Danielle Retière

Dimanche 10/1/16
Nous nous retrouvons à 11 dans le train de 9h08 pour Lyon. Au Mans, il prend 20mn de retard. Nous arrivons à temps pour prendre à Lyon la correspondance direction Grenoble. Nous retrouvons François et Martine partis la veille. Nous avons 1h30 d’attente pour monter dans le bus de 17h avec arrivée à Villard de Lans et à l’hôtel à 18h10. Marc et Danielle sont arrivés en voiture dans l’après-midi. Nous nous installons rapidement. Pour le briefing, nous nous retrouvons tous à 19h15 au salon. Un jeune couple et une jeune dame se joignent à nous. Nos hôteliers : François et Catherine, en nous offrant de la Clairette de Die en apéro, nous expliquent qu’il va falloir s’adapter, faute de neige. Le diner qui suit est chaleureux : soupe, cassolette de filet mignon, carottes, champignons, polenta, pommes cuites groseilles. 
Lundi 11/1/16
Le ciel est gris et menaçant. Le matin nous partons à pied pour une boucle au-dessus de l’hôtel. François, notre hôtelier guide, nous présente le site olympique avec sa piste de luge à proximité. Il nous parle de l’origine de l’hôtel La Taïga. Il nous explique l’architecture traditionnelle des maisons avec les pignons à « sauts de moineau ». Nous poursuivons notre ascension avec une vue sur la station de ski Cote 2000, ses immeubles et barres des années 80. Une averse de grésil nous arrose sur le retour. Nous mangeons notre pique-nique au chaud, à table, à l’hôtel. L’après-midi nous repartons en voiture à Corrençon. Durant notre montée dans les alpages, François nous fait un cours d’économie montagnarde.
Nous montons sur une crête pour redescendre dans une glacière. Une bonne averse de grésil commence à recouvrir le sol. Elle s’arrête pour laisser place au soleil qui donne de superbes couleurs rouge, jaune, orange. La montagne et le ciel légèrement ennuagé, s’embrasent. Les appareils photos sont de sortie. Après la douche et un peu de repos, nous nous retrouvons au salon vers 19h pour l’apéro que nous offrons afin de faire connaitre les produits de notre région aux « étrangers ». Nous visualisons aussi les photos prises dans la journée. 19h30 diner d’une salade aux lardons et fromage de chèvre suivie de manchons de canard, gratin dauphinois. On termine par une tarte au citron et miel. 
Mardi 12/1/16
François, notre hôtelier, passe le relais de guide à Hugues, petit homme sympa. Nous allons en voiture aux Clots, village proche, avec l’architecture traditionnelle. Hugues nous explique le paysage et les ressources naturelles du pays. Nous montons par un chemin empierré par les anciens pour l’exploitation, puis par une piste de ski pour gagner les alpages. Il nous montre un scialet, protégé, pour éviter aux animaux d’y tomber.
Nous passons devant plusieurs cabanes, mais nous abritons dans la 3ème, cabane de Roybon, pour y manger. La soupe chaude en thermos est très appréciée. Hugues repère des bouquetins sous une falaise. Nous faisons ensuite une longue marche à flanc de montagne. On croise une trace de « canidé ». En arrivant sur une épaule de terrain, la neige se met à tomber. Nous entamons une longue descente assez raide et glissante. Arrivés plus bas, nous escaladons une moraine caillouteuse avec des arbres en travers. Nous découvrons un lapiaz. Nous revenons, par des chemins plus tranquilles, à notre point de départ. Arrivés à l’hôtel, certains se prennent une boisson chaude notamment le chocolat chaud à la Chartreuse appelé « green chaud ». Le chien Stuck, en remuant la queue, casse une tasse, vide heureusement. Au repas du soir : soupe, diots avec une tarte aux choux, salade et timbale de fruits rouges. 
Mercredi 13/1/16
Le temps est plus frais. Nous partons tardivement avec Hugues, à Lans Le Villard, au pied des pistes de ski. 

Sous le soleil et avec un peu de neige au sol, nous trouvons de nombreuses traces d’animaux en sous bois : écureuil, renard, lièvre, etc… En montant dans les alpages nous arrivons à un abri sous roche naturel au pied d’une falaise. Un peu après, nous ramassons du bois mort et sec avant de gagner la cabane de la Ramette dans laquelle nous mangeons et y allumons un feu de cheminée. Dehors les rayons du soleil chauffent aussi. Hugues nous présente sur tablette, les animaux dont nous avons vu les traces depuis 2 jours et quelques autres plus discrets comme le lynx. Nous repartons en remontant vers la crête. En haut, le vent souffle frais mais la vue dévoile toute la plaine de Grenoble et la chaine des Alpes. Nous restons un bon moment à admirer le spectacle. Un peu plus bas, Hugues nous fait remarquer le pin à crochets. En descendant en bordure de falaise, nous faisons un écart vers une croix d’où nous voyons en dessous 4 chamois. Un peu plus loin nous voyons des traces. A 19h nous prenons de nouveau un apéro nantais auquel le couple de Marseille ajoute du saucisson local. Au diner : tourte au fromage, loup au risotto aux noix, fondant à la crème de marron. 
Jeudi 14/1/16
La journée est annoncée humide, aussi François nous parle d’avalanches puis de la résistance dans le Vercors jusqu’à 11h. Ensuite certains vont à Villard mais ont peu de temps. Nous mangeons à l’hôtel : soupe, puis assiette froide avec légumes, salade, viande des grisons, et fruits. A 14h nous partons avec 2 voitures visiter les grottes de Chorange en passant par les gorges de La Bourne. Sur la fin du parcours une voiture a des soucis, elle chauffe. François s’en occupe et certains finissent à pied. La visite de la grotte dure environ 1h : la particularité, ce sont les stalactites très fines et les protées dans des aquariums, animal cavernicole, aveugle, pouvant vivre 60 ans ; ils sont originaires de Croatie. 

A la sortie, nous prenons un sentier à flan de falaise pour aller voir une autre grotte « Gourmier » totalement ouverte, puis la cascade du Tuff. Le paysage est surprenant et mystérieux avec les nuages qui bougent et découvrent parfois des falaises impressionnantes. 

Sur le retour, François nous fait faire un petit détour pour voir des chamois dans les prés. Avant le diner nous regardons les photos de 2 jours. Diner : salade au bleu du Vercors « Sassenage », caillette et ravioles gratinées à la crème et tarte aux myrtilles. 
Vendredi 15/1/16
Beau temps. Nous changeons de guide. Le long et maigre Philippe remplace le petit Hugues, sympa aussi. Nous partons en voiture pour le circuit de Molière à Lans le Villard. Au cours de la montée en forêt nous voyons de nombreuses traces : sanglier, martre, lièvre, chamois…Les forêts sont parfois claires avec des hêtres et sombres avec des conifères. Après la traversée d’un alpage, nous atteignons une crête à 1600m. Vue sur les Alpes : la Meije, la Chartreuse, sous le soleil. 

Nous poursuivons sur la crête avec vue sur Méaudre en bas. Nous y pique niquons, mais le vent est glacial, le repas est bâclé en 20 mn. Beaucoup repartent avec l’onglée. Nous voyons un chamois traverser l’alpage en contre bas. Un peu plus loin nous descendons et longeons cet alpage enneigé. Les raquettes nous auraient été utiles. 

Après un arrêt photo, François Levent perd ses lunettes. Elles sont retrouvées enfouies sous la neige au bout d’1/4 d’heure. Nous passons devant un petit gite restaurant sans y rentrer. Dans une forêt de sapins, Philippe nous fait observer un énorme trou dans un tronc au sol, travail du pic noir. Nous voyons 4 chamois dans une prairie peu avant d’arriver aux voitures. Certains s’arrêtent à la balnéo de Méaudre pour 17h. Il se met à neiger. Nous dinons plus tard pour attendre ceux de la balnéo qui n’arrivent qu’après 20h : mousse de betterave et de guacamole, cuisse de pintade et crosets, soupe d’agrumes. 
Samedi 16/1/16
Il est tombé une bonne couche de neige pendant la nuit. Les nuages sont bas et il continue à neiger. Nous partons de l’hôtel en raquettes et montons dans les alpages et la forêt derrière l’hôtel. 

Nous faisons une longue descente dans la poudreuse, quelques chutes. Nous rentrons vers 13h pour pique-niquer à l’hôtel. On repart en voiture à 14h30, vers les gorges de la Bourne. Après une longue marche en forêt nous atteignons les balcons. 

Arrêt pour observer l’à pic et la falaise en face. On poursuit le balcon avec des passages un peu difficiles : étroits, caillouteux, hautes marches…

Nos 2 guides : François et Philippe sécurisent certaines parties. On remonte en forêt pour atteindre les alpages du plateau. Il y a beaucoup de fils de fer à enjamber. Nous arrivons presque à la nuit vers 18h. Certains prennent l’apéro avant le dernier diner : soupe toujours aussi délicieuse, vercoflette (tartiflette au bleu du Vercors), glace chartreuse genépi. 
Dimanche 17/1/16

Nous prenons le petit déjeuner comme d’habitude et remontons faire nos bagages. A 10h ils sont dans la voiture de François qui nous les amènera à l’arrêt du bus sur la grande route. Nous attendons dans le salon. 2 personnes sont parties en voiture avec Stéphanie à Villard au marché et faire des achats en magasins. Nous allons à pied prendre le bus 5100 Transisère à 10h36 pour aller à Grenoble. Nous récupérons les 2 personnes à Villard. Arrivés à Grenoble nous avons ½ h pour prendre le TER. Nous mangeons nos sandwichs commandés à l’hôtel. Arrivés à l’heure à Lyon nous avons ¾ h pour monter dans le train direction Nantes. Nous sommes un peu éparpillés. Nous nous disons au revoir sur le quai en descendant du train à Nantes

Semaine de raquettes au Devin Vosges du 30/1/2015 au 7/2/2015


Vendredi 30/1/2015
Nous nous retrouvons à 12 dans le train de 7h32 direction Strasbourg d’où nous prenons un autre train pour Colmar et nous retrouvons à l’hôtel Ibis Budget centre ville. Visite, par petits groupes, de la vieille ville touristique, très jolie, de la Petite Venise au bord de la Lauch, l’ancienne douane (le Koïfus), la maison Pfister, les toits vernissés, les enseignes. Il fait froid et la nuit tombe vite. Après un regroupement à 19h à l’hôtel, nous allons dîner ensemble à « La Petite Venise » que Claude Hamon a réservé sous les conseils d’un collègue, d’un délicieux repas alsacien. Nous rentrons tous vite, il fait froid.

Samedi 31/1/15

Nous allons tous au musée Unterlinden. Avec l’audio-guide, on parcourt les galeries, puis on ressort pour aller à l’église des dominicains où se trouve le rétable d’Issenheim. Nous prenons le temps de voir une réduction qui montre sa vraie configuration. L’exposition est remarquable, aérée. Nous admirons également la Vierge au buisson de roses de Schongauer et les grands vitraux. Midi, on se retrouve tous aux halles. Il y fait bon, il y a de beaux produits. Nous sommes 7 à se laisser tenter par l’ambiance et un menu décent à 11 €. La soupe chaude est délicieuse et le jambonneau copieux avec une grosse pomme de terre sauce fromage blanc ail ciboulette. Les 5 autres vont dans un salon de thé. 15h RDV à l’hôtel, pour récupérer nos bagages et aller à la gare. On retrouve les 4 qui sont arrivés en début d’après-midi. On prend le car de 16 h 10, à côté de la gare, pour aller au village du Bonhomme, tarif groupe pour 16 personnes. Le long du trajet, nous faisons la connaissance d’un autre groupe de 8 personnes qui va aussi au Devin. Arrivés à 17 h 20 au village du Bonhomme, les véhicules du Devin nous attendent. La neige tombe, il fait froid. La montée vers l’hôtel à travers la forêt est raide et verglacée. Nous nous installons, certains dans des chambres avec salle de bain individuelle, d’autres dans des chambres gîte avec salle de bain et WC communs. A 19 h, nous sommes tous au restau pour une présentation du séjour et faisons connaissance de Thérèse et Vincent. Nous sommes 25 au total, avec les normands et une ardennaise. Chacun se présente. Apéritif : muscat d’Alsace. Nous commençons par une soupe de légumes, puis une tourte vigneronne, du munster, aromatisé avec des graines de carvi (appelé cumin des prés), et vacherin. Vin : edelzwicker.






Dimanche 1/2/15

Après le petit déjeuner, nous allons régler les raquettes au garage. 

Nous partons aussitôt du chalet et faisons 2 groupes équilibrés en nombre, avec Thérèse et David. Il fait gris et froid. Nous montons dans les sapins. Arrêt devant la tourbière du Devin. Dans un village, un débardeur à cheval nous double, il est assis, à cru, sur un triangle de bois servant aussi de chasse-neige rustique. 


Un solide cheval le tire. Un ruisseau coule encore mais fait une superbe cascade de glace. Vers midi, les 2 groupes arrivent ensemble à une cabane de chasse. David et Thérèse allument du feu dans un poêle. Nous commençons par la soupe chaude, apportée dans des thermos. Le pique-nique est bon, mais on ne traîne pas… On repart avec 2 groupes plus équilibrés en capacité. Nous passons dans un couloir à vent très impressionnant. Thérèse nous fait des commentaires qui tournent beaucoup autour des vestiges de la guerre 14-18 (infirmerie, téléphérique…) Arrivée vers 16 h 15. Après la douche, certains se retrouvent au bar. Vers 17 h, nous essayons de voir le match final de coupe du monde de hand-ball au Qatar. La TV en bas ne marche pas. Thérèse nous fait monter dans leurs appartements et on regarde sur un ordinateur, mais sans le son. 2 jeunes viennent et pendant une demie heure, bidouillent, coupent des câbles, en refont d’autres, et ça finit par marcher avant la fin du match. Les français gagnent. Dîner : potage, plat local de tranches de jambon braisé et patates râpées mélangées avec des lardons. Munster, et…..



Lundi 2/2/15

Neige, gros flocons toute la matinée et en début d’après-midi. Départ à 9 h du chalet en raquettes. Nous progressons en forêt, puis on descend vers le village du Bonhomme en passant sous les épicéas. Curieux et demandant de la souplesse, car il faut se faufiler sous les ramures. Pause graines et fruit sec sur le parking de l’église du Bonhomme. David nous fait l’histoire du pays Welche. 

Des francophones en pays germanique. On finit par grelotter un peu. Nous remontons jusqu’à 13 h vers le col des Bagenelles. Le resto est chauffé, accueillant. On nous donne une soupe et un café, on mange le pique-nique tiré du sac. Nous repartons avec une éclaircie. On monte et on descend. Passage par une pente raide et poudreuse. Chutes. David nous raconte l’histoire du pic noir. Arrivés au village du Bonhomme, 2 personnes rentrent en voiture. Nous remontons sous les épicéas les 250 m descendus le matin… Arrivée à 17 h 15. Certains vont au sauna et se roulent dans la neige, à la place de la douche froide. Repas du soir : soupe de légumes, escargots de viande (fleischnaka), pâtes, courgettes et tomates. Clafoutis aux cerises. 



Mardi 3/2/15
Temps sec et ensoleillé presque toute la journée. Départ vers 9 h. David nous montre à partir de la terrasse du chalet, vers l’est, la Forêt Noire. Nous suivons le même chemin que le premier jour, mais sous le soleil. Nous sommes dépassés par une compagnie de militaires pendant notre pause de 11 h. 

Nous continuons vers le lac Blanc. Nous avons croisé des traces de lièvre, de sanglier, de renard, de biche, de chevreuil. A la station du lac Blanc, nous trouvons un traineau avec des chiens, deux rennes. La salle de resto est pleine, heureusement, nous avons une table réservée. Soupe et café. Certains prennent une bière ou une part de tarte à la myrtille. On repart en montant, puis on progresse en forêt sous les épicéas, en parallèle avec une piste fond. Nous passons par des cimetières et David nous raconte les misères des ‘malgré nous’ alsaciens. On arrive vers 17 h 30, le soleil est couché. Après la soupe, voici arrivée une truite aux amandes… et ses arêtes.

Mercredi  4/2/15
Jour de repos, un peu de soleil. Les normands sont partis pour la journée à Colmar. 3 personnes de notre groupe descendent à Kaysersberg pour visiter le village et acheter un cadeau pour les 60 ans de Marc. D’autres font un circuit raquette. A 11 h 30, nous sommes 13 à manger au chalet. Thérèse a réalisé une tartiflette au Munster, servie dans un caquelon chaud. Délicieux. 

Dans l’après-midi, nous jouons à 6 en bas, pendant que d’autres sont partis visiter Kaysersberg. 

A 18 h, présentation des vins d’Alsace par un vigneron d’Ammerschwihr, Denis Heitzman, avec son père. On déguste 6 ou 7 crus différents. Le repas qui suit est à l’eau… soupe de pois cassés, poulet à la crème et pâtes rondes. La lumière s’éteint pour un gâteau pour Marc. Il offre le crémant pour tous. On lui offre des verres à bière et des bières. Il va devoir les porter au retour… 

Jeudi 5/2/15
Temps gris et froid à – 7°, vent, un peu de neige. Départ en voiture pour le col de Wettstein. Nous cheminons dans la forêt et la cuisinière de l’auberge du Devin nous accompagne. Le vent est très froid. Nous arrivons vers 11 h 30 au lac des Truites ou lac Forlet. Nous repartons assez vite pour le lac Noir. Paysage peu dégagé, épaisse couche de neige. On passe dans un petit village avec un refuge des Amis de la Nature et on descend vers le lac Noir. On mange un repas chaud complet : soupe, joue de porc, spaetzle, glace vanille avec marc, café. La salle est pleine, nous repartons vers 15 h. Nous descendons par routes et chemins vers Les Hautes Buttes, petit village avec une église qui faisait également école. Nous traversons ensuite le cimetière du Linge. Arrivée vers 16 h 45. Au chalet, on se casse le bec sur le portail fermé du garage pour ranger les raquettes. On attend, Claude Hamon se lance dans une gavotte. Puis on capitule, il fait trop froid, on remonte. Le soir, pour se réchauffer, Baeckeofe dans sa cocotte römertopf. 

Un vrai délice. Ensuite nous goutons le munster arrosé au gewürztraminer. Une tarte aux pommes pour finir…

Vendredi 6/2/15
Vent froid, nuages et soleil. Un groupe de parisiens arrive. Départ à 9 h pour le col du Bonhomme. Une des voitures a un souci, nous attendons sur le parking, il fait très froid, à cause du vent. Thérèse ne nous accompagne pas, elle est remplacée par Jean-Pierre. Nous suivons une crête vers le col des Bagenelles. David nous fait passer du côté sous le vent. Le spectacle sous les sapins est magnifique. Les troncs des arbres sont entièrement blancs. Nous découvrons la borne frontière datant de 1870 avec D(euchland) et F(rankreich). Il fait froid dès que l’on s’arrête. La descente vers le col des Bagenelles est assez raide, par une piste de ski et face au vent.

Le repas est identique à celui de lundi. Certains craquent devant les yaourts fermiers. Nous revenons sous un faible soleil vers le col du Bonhomme en montant 2 petits raidillons pour varier le parcours. Spectacle différent du matin, à cause de la lumière, mais tout aussi magique. Arrivée au parking vers 17 h. Certains vont au sauna. D’autres restent avec les guides pour leur offrir un pot. Le soir, nous avons le plat de choucroute et la tarte aux myrtilles. Vin : edelzwicker. Vincent offre un petit coup de schnaps.




Samedi 7/2/15
Nous libérons tranquillement les chambres après le petit déjeuner. On attend 11h30 que Vincent et 2 autres voitures nous conduisent à Lapoutroie pour le bus de 12h30. Serge et Martine y prennent un taxi car leur train part avant le nôtre. Nous attendons au soleil. Nous sommes à la gare de Colmar 3/4h avant le train qui est à l’heure. Nous sommes un peu dispersés dans différents wagons. Il est 14h30, nous déjeunons des sandwichs de Thérèse. Claude fait ses comptes bus + vins de la semaine. J’envoie des SMS et Annie vient nous porter la majorité des remboursements. Arrivés à Paris on se retrouve, beaucoup de monde, nous nous dispersons de nouveau, nous prenons le 2ème métro. Arrivés à Montparnasse nous nous retrouvons de nouveau et attendons un peu l’affichage du quai de notre train. On est dans 2 wagons côte à côte. Marco vient nous rendre visite. 

SEMAINE AGREABLE ET DEPAYSANTE

Catherine Claude Raison 


 
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LES  BARDENAS  DU  10  AU  17  SEPTEMBRE  2011


- SAMEDI 10/09/2011     NANTES PAU

Tous arrivés par le train, avec 40 mn de retard, nous nous retrouvons à l'hôtel Adour au centre de Pau.

DIMANCHE 11/09/2011    TRAJET POUR L'ESPAGNE

Le bus de La Balaguère vient nous chercher à l'hôtel vers 9 h. Nous faisons connaissance avec notre guide, Julien (d'origine anglophone, installé en France et marié avec une française depuis de nombreuses années). Quelques km plus loin nous prenons un 2ème guide, Christophe, venu en repérage de terrain pour emmener un autre groupe la semaine suivante.
Nous passons en Espagne par le tunnel du Somport. Arrêt pique-nique à Berdùn, village perché que nous visitons ensuite. Julien nous explique les blasons sur les maisons, les 'francos' qui ont participé à la reconquête.
Visite d'Ujué, un autre village perché. Marc nous fait observer au sol une jeune couleuvre de Montpellier.

Visite de l'église mi romane mi gothique, avec un promenoir et des vitres en albâtre.
Arrivés à Valtierra vers 17 h, nous nous installons dans des gîtes troglodytes confortablement aménagés.

 En plus des chambres nous avons une grande salle à manger cuisine salon et même une cour avec salon de jardin et aménagée pour faire des barbecues. Le soir même, nous y prenons l'apéritif offert par Claude pour son anniversaire.  2 couples de notre groupe s'installent en chambre d'hôte 4 km plus loin à Arguedas.
Nous dînons copieusement, finement et localement dans un restaurant à Arguedas où nous finissons par un pétillant de Navarre offert par La Balaguère.

- LUNDI 1ER JOUR DE RANDONNEE : CASTILDETIERRA

Nous avons tous bien dormi au frais dans nos chambres creusées dans la falaise. Julien nous emmène à un point de vue d'où nous découvrons la dépression des Bardenas. Nous poursuivons par une piste et voyons des perdrix.  Arrêt au pied du Castildetierra (château de terre), belle cheminée de fée. Il fait déjà chaud. Nous répartissons la charge du pique-nique. Dès le départ nous plongeons dans un barranco (ravin), Julien nous explique les divers types d'érosions et leurs conséquences. Nous traversons un petit oued en le couvrant de broussailles sèches poussant dans ces fonds. Nous remontons sur les badlands, secteur où la pluie a complètement érodé la terre arable, nous passons en équilibre sur des crêtes en argile (on dirait de gros choux fleurs).

Devant nous, des collines d'argiles rayées de tranches rosées. Nous montons sur un tertre en argile recouvert de dalles de grès en équilibre instable sur ses bords. Nous avons une belle vue, entre autre sur les cultures de céréales récoltées. Nous redescendons dans un autre ravin avec un cours sur l'utilisation des bâtons pour éroder le moins possible le terrain. En suivant le parcours sinueux du barranco nous sentons le thym, le romarin. Julien nous fait observer de l'albâtre à l'état naturel. Dans un virage, l'eau a creusé dans la falaise un espace concave où il y a de l'ombre pour pique-niquer. Nous remarquons des traces de sanglier et de marcassin dans la glaise encore humide. Il y a eu de gros orages sur les Pyrénées il y a 10 jours et l'eau s'est infiltré doucement jusque là. Nous continuons le ravin pour rejoindre le barranco Grande. Nous rencontrons de l'eau, elle est salée et de la salicorne y pousse (les Bardenas étaient autrefois une mer), il y a aussi de belles libellules rouges. Nous franchissons un passage délicat car trop humide, ça glisse la glaise mouillée et plus loin ça ne passe plus du tout, finalement, nous faisons demi-tour. Nous sortons du ravin et traversons des champs labourés jusqu'au cabanon d'Aguirre dont le toit est fait de roseaux et de terre puis recouvert de tuiles et où une pause à l'ombre est la bienvenue. En repartant nous plongeons dans le barranco Grande, pas d'air, il fait chaud comme dans un four. Après avoir contourné un massif de terre surmonté de dalles de grès dont certaines sont tombées, nous faisons une longue descente dans une steppe.

Arrêt à l'ombre de frêles tamaris au bord d'un marécage avec des roseaux, le balsa de las Cortanas. Pas d'oiseau mais des libellules. 17 h, fin de la randonnée, surprise, Julien a mis à l'ombre sous le bus un jerrican d'eau et nous offre la douche. Un peu réticents, les 1ers approchent doucement, se rafraîchissent les bras puis la nuque et progressivement tout le monde se mouille avec bonheur jusqu'aux vêtements. On rentre en longeant la zone militaire. A Arguedas, à l'ombre, dehors, nous prenons une boisson fraîche pendant que les guides font les courses du pique-nique du lendemain. Nous rentrons prendre la douche bien méritée. 20 h nous allons dîner à Arguedas avec toujours autant de choix dans chacun des plats.

- MARDI  2ème JOUR DE RANDONNEE : CHATEAU DE PENAFLOR

Nous prenons une piste qui nous emmène dans la partie nord des Bardenas. Nous traversons des cultures irriguées. Nous arrivons dans une réserve de chasse : Vedado de Eguaras, des rois de Navarre.  Cette partie est plus verte avec des pins d'alep. Nous suivons un chemin de transhumance. Arrêt devant une mare qui grouille de rainettes et de libellules. Nous voyons le château de Penaflor, inaccessible et en équilibre sur sa cheminée de fée bien érodée.

Au cours d'une pause, un peu plus loin, un coup (de canon ?) très fort retentit. Julien, avec son humour anglais, nous parle aussitôt des bandits de grand chemin qui se réfugiaient là. Il appelle aussi "Juanita", une renarde qui accepte de s'approcher des hommes. Après une longue montée, pause sur un promontoire, nous apercevons Castildetierra au loin puis surplombons Penaflor et admirons le vol des vautours fauves. Nous descendons par une pente raide et caillouteuse. Nous trouvons un endroit ombragé sous les pins d'Alep, pique niquons et faisons la sieste, bercés par le chant des cigales. Nous repartons sous une forte chaleur. Claude sort un thermomètre de son sac, il dépasse 40°, Julien dit 32° à l'ombre. Dès qu'une ombre se profile nous nous arrêtons et buvons. A l'arrivée au bus, tout le monde se précipite pour bénéficier de la "douche" du jerrican. Sur le chemin du retour, arrêt à l'ermitage de la Virgen del Yugo.


- MERCREDI 3ème JOUR DE RANDONNEE : LE RALLON

Le ciel est voilé, nous l'apprécions toute la matinée. Nous allons à l'est des Bardenas après avoir contourné la zone militaire. On plonge rapidement dans un petit ravin. Julien nous fait remarquer les 2 espèces de soude voyageuse dont une en fleur. Quand elle est sèche, elle se détache et suit le vent en roulant (vu dans certains westerns).

C'est une zone prisée par les oiseaux au moment de la nidification. Au cours d'une pause nous entendons et voyons un cochevis huppé. Nous descendons dans le labyrinthe d'argile. L'endroit est unique, nous avançons au fond d'un ravin étroit en forme de V avec des ramifications dans tous les sens. Puis nous devons atteindre un éperon, qui domine les Bardenas, par un escalier presque totalement chaviré par l'érosion et dans le vide vers le sommet. C'est la dernière fois que Julien l'utilise.

Ne parlons pas de la descente... Nous poursuivons par un long cheminement pour atteindre le sommet du Rallon. Le soleil apparaît et la température monte. Nous nous installons tous en rang d'oignon à l'ombre étroite d'une falaise pour pique-niquer. Nous apprécions un juteux et frais melon d'Espagne transporté par les guides. Nous montons sur la mesa terminale, superbe spectacle avec vue imprenable sur les parties cultivées, d'autres érodées, les barrancos et le site militaire avec ses joujoux (tanks, avions, cibles...) Julien nous montre une aire reposoir à vautours avec des duvets accrochés aux épines. Nous revenons par un chemin de transhumance puis un long barranco bien chaud, sans ombre ni air, ça ressemble à un four. L'eau du jerrican est bien appréciée à l'arrivée. Vu un traquet oreillard sur le trajet retour en bus. On s'arrête à la maison des Bardenas, présentation d'animaux sauvages de la région.

JEUDI 4ème JOUR DE RANDONNEE : TRIPA AZUL et TUDELANous partons un peu plus tôt à cause de la chaleur. Nous allons au bord sud des Bardenas, direction Tudela. Nous constatons l'avance des espagnols sur la France dans le domaine des énergies renouvelables, beaucoup d'éoliennes et des champs de capteurs photovoltaïques. Nous partons par un chemin agricole : des céréales à courtes tiges. Nous sommes dans la région des chênes kermès. Nous aboutissons à un col avec une large vue sur les Bardenas. Pendant que nous grimpons vers Tripa Azul, dans la garrigue et sur un sol caillouteux, Christophe retourne chercher un bâton oublié sur le chemin lors d'une pause, il nous rattrape rapidement. Nous avons une vue sur les Bardenas aragonaises plus vertes car irriguées. Des villages modernes ont été créés, des fruitiers plantés. Avec les jumelles nous retrouvons le château de Penaflor. Nous redescendons par un chemin glissant, quelques uns tombent sur les fesses et devrons payer le pot du soir. La moitié du groupe fait un extra en montant sur une arête. Vers 13 h nous nous retrouvons pour manger ensemble sous une petite ombre. Après une courte sieste, nous visitons Tudela. Place des fueros, Julien nous explique l'histoire de la ville avec tous les blasons peints sur les murs. Nous visitons la cathédrale avec son cloître roman avec des dessins d'influence musulmane (styles mudéjar), l'église gothique et une chapelle rococo. Pendant que les guides font les courses, nous prenons un pot sur la place à l'ombre. En rentrant dans nos chambres, nous constatons qu’un joli chat y a passé la journée et a visité proprement tous les lits. Nous ne le reverrons pas dans notre cour tout le reste du séjour.

-  VENDREDI 5ème JOUR DE RANDONNEE : FITERO

Il fait chaud et lourd. Nous quittons les Bardenas pour Fitero, petite ville à l'ouest. Nous stationnons dans la cour d'une bodega, des remorques de grappes de raisin sont déversées, une odeur de moût se dégage. C'est un grossiste, nous ne pourrons pas visiter. Dans un parc, sous les platanes, des gens préparent une fête. Nous traversons vergers, potagers irrigués. Julien nous fait un cours d'espagnol "légumier". On goûte des noix, des pommes et des poires tombées. On longe une levada et une falaise de poudingue qui nous protège du soleil. Au-dessus de nous volent des vautours fauves puis un aigle de Bonelli avec sa tête blanche. Nous montons dans le poudingue entourés d'oliviers. Avec une brindille, Julien essaie, en vain, de faire sortir une tarentule de son trou. Des vautours en nombre nous survolent et vont s'installer sur un perchoir. Nous grimpons raide vers les sommets. On laisse les sacs pour passer dans un trou entre 2 rochers et atteindre une corniche dominant toute la plaine et Fitero. Après un petit demi-tour nous grimpons une grande marche et sommes sur une crête, nous jouons à saute-rochers. Nous pique-niquons à l'ombre d'une étroite vire, pas très confortable. Un membre du groupe nous offre du Moscatel en apéro.
On doit faire attention en se passant les provisions, la pente est raide et le ravin proche. Courte sieste. Nous descendons à travers des arbustes puis oliviers, amandiers et figuiers. Plus loin, nous admirons une mante religieuse. Nous retrouvons les tables sous les platanes où les basques de France et d'Espagne font la fête Dans une énorme bassine : lapin, chorizo, haricots, patates. Arrivés au bus, Julien nous offre de la pastèque bien fraîche conservée dans la glacière. Juste avant de dîner nous avons droit à une grosse averse d'orage. Le dernier dîner est différent : sangria et paëlla.

- SAMEDI RETOUR EN FRANCE

Nous repartons pour la France vers 9 h. Plus on approche des Pyrénées, plus le ciel est chargé. Arrêt à Roncesvalles, visite de l'abbatiale avec des vitraux translucides en albâtre. Nous poursuivons jusqu'à Saint Jean Pied de Port où nous pique niquons. Julien nous donne une bonne heure pour visiter, seuls. Nous repartons pour Pau, le bus nous dépose vers 17 h devant l'hôtel Adour où nous avons réservé aussi la nuit du retour. Il pleut, certains sortent visiter le vieux Pau, le château, où l'entrée est libre pour la journée du patrimoine. Nous allons tous dîner à la pizzeria en face l'hôtel.

DIMANCHE RETOUR A NANTES

Après le petit déjeuner nous avons encore du temps pour visiter Pau et chercher un pique nique. Le train part à 11 h. Aucun retard cette fois ci, changement à Bordeaux et arrivée comme prévu à Nantes vers 18 h.

Catherine & Claude RAISON

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Le Cantal Laveissière Gîte Hôtel Bellevue du Dimanche 13 septembre 2009
au samedi 19 septembre 2009
Participants par ordre alphabétique : Odile Cholet, Danielle & Marc Deniaud, Marie-Laure Fleury, André & Huguette Lollier, Catherine et Claude Raison ,
Autres personnes rencontrées jointes à notre groupe : Angèle, Emmanuel Choron, Ana & José Salvatore, Mark Smith.
Accompagnateurs : Eliane et Luc Malbos
Rédacteurs : Huguette Lollier, Danielle & Marc Deniaud
Gîte Hôtel Bellevue à Laveissières (15300)
Arrivée : dimanche 13 septembre 2009 vers 17h00 :
Nous découvrons nos chambres certains sont au premier, les autres au deuxième étage. Nous avons tous une vue magnifique sur le lac.
pastedGraphic.pdfVue sur le lac depuis nos chambres
19h00 Dîner :

Menu :

Cidre avec sirop de mûres en apéritif
Soupe au cantal
Saumon et pommes de terre
Fromage
Glace vanille avec chocolat chaud

Vin rouge : merlot
1er JOUR, lundi 14 septembre 2009 :
A 8H00, petit déjeuner
9h00 départ
Nous embarquons dans le mini bus conduit par Eliane qui nous dépose à Prat de Bouc (1396 m). Nous prenons le chemin à travers une estive au milieu des salers. Un vent très froid souffle et nous devons enfiler coupes vent, bonnets et gants. Même Luc notre guide qui est en tee short et short, doit enfiler son coupe vent et un turban c’est dire s’il fait froid.
Nous montons dans le brouillard en direction du Plomb du Cantal (1855 m) que nous contournons. Le vent est très froid et fort, il nous bouscule parfois violemment.
Aucune visibilité. Puis, le temps se découvre en début d’après-midi et le paysage apparaît, avec ses grands plateaux appelés « planèzes », de différentes couleurs et ses vues très dégagées et lointaines. Pique-niquons sur l’un d’eux, avec un très beau paysage sur la vallée environnante.
Dans la descente, le soleil pointe son nez.

Menu :

Tomate & oeuf dur
Cuisses de poulet aux fines herbes
Cantal
Pommes et nectarines

Vers 13h00 nous reprenons notre descente.
Le paysage est très beau nous apercevons le Puy Griou (1694m) et Saint Jacques des Blas.
Devant la ferme auberge de la Tuilière, le GR400 tourne sur la droite.
Nous descendons à travers bois et apercevons de magnifiques coulemelles (Macrolepiota proceraque nous laissons.
Nous passons le Chaos de Castellinette et arrivons dans le village de Thiezac (1000 m) où nous avons rendez-vous avec Eliane au terrain de camping.
Mais personne, le terrain possède deux entrées et Eliane nous attend à l’autre.
Luc part à sa rencontre et tout est bien qui finit bien nous rentrons à l’hôtel en passant par le tunnel du Lioran.

18H00, retour à l’hôtel, chacun vaque à ses occupations.
Apéritif : 19H15

Muscadet apporté par André & Huguette
Nantillais apporté par Catherine et Claude
Gâteau de Mouzilon (André & Huguette)
Gruyère de Suisse (Anna et José)
Petits Lu Nantais (Marie Laure & Odile)
Noix (Eliane et Luc)Dîner : 19H30

Assiette de crudités
Alligot préparé devant nous
Rosbeef
Tarte aux pommes
Veillée : 21H00

Diaporama sur la vie dans les burons et la fabrication du cantal.
Météorologie : brouillard et froid2ième JOUR, mardi 15 septembre 2009 :dénivelé > 250 m.
A 8H00, petit déjeuner
9h00 départ
Nous prenons le bus en direction du col d’Entremont (1220m), notre point de départ. Eliane sera notre accompagnatrice pour la journée.
Nous avons pris à l’hôtel des bâtons de marche nordique, pour nous initier à cette discipline.
Pour commencer, Eliane nous apprend les bases de la marche nordique et le maniement des bâtons, ainsi que le réglage des dragonnes.
Nous partons à travers champs sur une magnifique lande parsemée de tourbières.
Nous apercevons de splendides coulemelles (
macrolepiota procera), mais ne les cueillons pas car des moutons ont séjourné dans le pré et ils pourraient nous transmettre la douve (Fasciola hepatica).
Plus loin nous découvrons sur le chemin un mouton et un agneau mort.
Dans une autre prairie nous ramassons de très belles coulemelles. Tout le groupe se met à en chercher.
Nous visitons un buron avec sa cave d’affinage, son toit de lauzes et sa charpente traditionnelle.
Puis nous atteignons une grande bâtisse qui est une ancienne ferme, le bâtiment possède une magnifique charpente, mais nous ne pouvons pas le visiter.
Nous visitons la porcherie dont le toit de lauzes repose sur une voûte de pierres.
Nous déjeunons en lisière de forêt.
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Menu :

Tomate
Camoa
saucisson sec
Cantal
Saint Nectaire
Pommes et nectarines

Vers 13h00 nous reprenons notre chemin en bordure de forêt et continuons à ramasser les coulemelles que nous rencontrons. Nous en ramasserons 9 kilogrammes au total.
Nous nous arrêtons pour admirer le lac de Sauvage sur lequel s’entraîne une Kayakiste. Le lac est à 1200 m d’altitude et on y pêche la truite.
Nous sommes dans la vallée de la Santoire à 10 km de Murat.
Nous reprenons notre descente et visitons le village de Sauvage.
Nous atteignons bientôt une belle tourbière fermée.
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Nous observons une grenouille rousse (rana temporaria).
Après la traversée de champs d’épilobes, nous retrouvons le bus et entamons le retour vers Laveissière.

17H30, retour à l’hôtel, chacun vaque à ses occupations.Apéritif : 19H15

Muscadet de Vallet (Catherine et Claude)
Gâteau de Mouzilon (André & Huguette)
Gâteaux Nantais (Marie-Laure & Odile)
Noix (Eliane et Luc)

Dîner : 19H30

Pontiou avec salade verte
Coulemelles déglacées au porto
Filet de truites avec riz basmati
Fromage
Gâteau fourré de chocolat chaud
Veillée : 21H00

Diaporama sur les tourbières du Massif Central.
Météorologie : beau temps ensoleillé3ième JOUR, mercredi 16 septembre 2009 :dénivelé + 400 m – 400 m.
A 8H00, petit déjeuner
9h00 départ
Il bruine et le temps est gris, le plafond bas ! Nous partons avec Luc, en minibus. Nous nous arrêtons dans un village : Moissac à l’est de Laveissière. L’église du 12ème siècle possède un clocher à peigne et elle abrite la tombe du pèlerin de Saint Jacques, mais elle est fermée.
Puis nous prenons un chemin en direction d’une voie ferrée utilisée en belle saison pour faire du vélo-rail.
Nous atteignons un pont sous lequel coule une rivière.
Nous montons ensuite à travers la forêt pur atteindre un abri préhistorique dans lequel nous admirons des pétroglyphes, deux bombes et des orgues basaltiques.
Dans la forêt humide , nous observons une magnifique salamandre tachetée 
(Salamandra salamandra), des lys de montagne et des sceaux de Salomon.
Nous nous arrêtons dans un petit hameau et déjeunons dans un four banal car le temps est à la pluie.

Menu :

Tomate
Taboulé
jambon blanc
Cantal
Saint Nectaire
Pommes et nectarines

Vers 12h30 nous reprenons notre chemin. Luc nous ramasse quelques prunes délicieuses.
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Nous admirons la croix de Mons qui date du 15ième siècle.
Nous traversons un autre village : Chalinargues avec son église ornée elle aussi d’un clocher à peigne. Nous la visitons et admirons la croix de pierre sculptée qui se trouve dans le jardin.
En contre-bas de celle-ci, très jolie place avec un espace vert ou se trouve un beau lavoir abreuvoir relié à un bassin de réserve d’eau. Puis, par des petites routes et chemins, retournons à Moissac aux environs de 16 h.
Anna, José et Mark ne nous ont pas accompagnés car c’est leur jour de repos.
Seuls Emmanuel et Angèle se son joints à nous.

17H30, retour à l’hôtel, chacun vaque à ses occupations.Apéritif : 19H15

Muscadet de Vallet (Catherine et Claude)
Gâteau de Mouzilon (André & Huguette)
Gruyère de Suisse (Anna et José)
Noix (Eliane et Luc)

Dîner : 19H30

Assiette de crudités
Ragout de cerf
Pâtes
Tarte aux pommes
Veillée : 21H00

Film sur les volcans d’Auvergne.
Météorologie : temps couvert avec menace de pluie

4ième JOUR, jeudi 17 septembre 2009 :dénivelé >900 m.
A 8H00, petit déjeuner
9h30 départ
Nous prenons le bus en direction du col de Serre (1364 m).
José et Claude ne nous accompagnent pas car ils souffrent du genou.
Nous suivons un beau sentier en direction du puy Mary (1787 m).
Nous apercevons toute la crête et le circuit que nous allons faire : la brêche de Roland...
Nous nous dirigeons, à travers de grands et beaux plateaux, vers le Puy Mary (1787 m.).
Nous atteignons le bas du puy Mary et commençons son ascension par un escalier très fatiguant.
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Nous atteignons le sommet et sa croix, sa table d’orientation.
Nous apercevons la dent de Salomon. Belles vues au sommet du Puy Mary. Puis redescendons en direction du Col du Pas de Peyrol.
Nous redescendons par un beau chemin de crêtes en direction des autres sommets : Pevre arse (1806 m), Font Alagnon (1190 m).
La panorama est splendide.
Pour franchir la brèche de Roland, nous lançons nos bâtons et escaladons la paroi.
Vers 13hOO, nous pique-niquons sur une magnifique terrasse herbeuse.
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Le panorama est très beau.

Menu :

Tomate
salade de lentilles de Saint Flour
rôti de porc fumé
Cantal
Saint Nectaire
Pommes et nectarines

Vers 13h30 nous reprenons notre chemin. La descente est un peu plus facile.
Nous allons au sommet du Puy de Peyre Arse (1806 m.), tout en apercevant très bien le Puy Griou (1694 m.).
Sur un col nous apercevons trois campeurs qui ont installé des lunettes ornithologiques et des filets.
Ils étudient les chauves souris.
Nous redescendons vers Font Alagnon (1190 m.) et Eliane nous récupère à la station du Lioran. Très bonne et belle journée et superbes vues sur les différentes vallées.
17H30, retour à l’hôtel, chacun vaque à ses occupations.Apéritif : 19H15

Granite de Clisson (Dany & Marc)
Gâteau de Mouzilon (André & Huguette)
Gruyère de Suisse (Anna et José)
Noix d’Auvergne (Eliane & Luc)Dîner : 19H30

Pounti avec salade
Gigot d’agneau
Petits pois
Fromage
Crème brûlée
Veillée : 21H00

Film sur les volcans d’Auvergne.
Météorologie : temps couvert avec menace de pluie
5ième JOUR, vendredi 18 septembre 2009 :
A 8H00, petit déjeuner
9h00 départ
Nous prenons le bus en direction du village de Albepierre. Nous y admirons de belles maisons au toit de lauzes.
Nous prenons la direction de la cascade de glace “Pisse en gel”.
Nous montons à travers une coupe de bois et à travers une forêt de mélèzes et de sapins.
Nous croisons de nombreuses coulemelles, mais ne les cueillons pas car elles sont trop avancées.
Nous traversons un grand pâturage sous le vent et la pluie.
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Nous croisons beaucoup de vaches de ace Salers et Aubrac.
Vers 13hOO, pour déjeuner, nous nous abritons dans un buron.

Menu :

Tomate
salade de pâtes au thon
oeuf dur
Cantal
Saint Nectaire
Pommes et nectarines

Vers 13h30 nous reprenons notre chemin après avoir tout bien rangé dans le buron.
Le soleil fait une apparition.
Nous marchons sur le plateau du col de Prat de Bouc.
Premier coup de tonnerre, le ciel est gris et menaçant.
La pluie se met à tomber très fort.
Dans la descente nous nous arrêtons dans le buron de Soulierre qui a été rénové.
Nous reprenons le chemin vers la cascade des vergnes.
L’orage est sur nous.
Nous suivons un chemin forestier jusqu’à Albepierre où nous attend le bus.
Tout le groupe est mouillé.

17H30, retour à l’hôtel où un bon feu de bois nous attend, chacun vaque à ses occupations.
Apéritif : 19H15

Malvoisie (cépage pinot gris) (Dany & Marc)
Gâteau de Mouzilon (André & Huguette)
Gruyère de Suisse (Anna et José)
Noix d’auvergne (Eliane & Luc)Dîner : 19H30

Salade de gésiers confits
Chou farci sauce tomate
Fromage
Tarte aux framboises
Veillée : 21H00

Film sur l’initiation à la la marche nordique (réalisateur José).
Diaporama sur la télévision des photos de chacun.
Avant de monter nous coucher, Elyane nous fait écouter le brame des cerfs dans les forêts voisines. Le séjour fut complet : randonnée, cueillette et dégustation de champignons, brame du cerf.
Météorologie : temps couvert, pluie orage.

Les Calanques du Dimanche 31 mai 2009
au vendredi 5 juin 2009
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Dimanche 31 mai 2009 Hôtel du parc à Aubagne
1er JOUR, dimanche 31 mai 2009 :
Auriol Plan d’Aulp :
A 13H00, nous retrouvons notre guide Elizabeth à Aubagne.
Nous prenons un café ensemble et montons dans le bus pour Auriol.
Nous descendons en pleine campagne et montons à travers les collines puis la forêt vers Plan d’Aulp. Elizabeth nous fait découvrir l’aphilante.
Vallons sauvages du Cros de la Coutronne et du petit canyon des infernets.
A 19H00, nous atteignons l’hôtel restaurant Lou Pebre d’Aï (poivre d’âne : sarriette).
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Dîner : 20H00
apéritif offert par Gaby : vin d’orange et de citron
Jambon cru et melon
Confit de canard maison et ses légumes
Fraisier
Vin rouge local
2ième JOUR, lundi 1er juin 2009 :
A 8H00, petit déjeuner
9h00 départ
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Randonnée dans le massif de la Sainte Baume, la chapelle du XIième siècle est fermée. Chapelle du grand Vedi. Vallon et source de la Sainte Baume Sources de l’Houveaunne qui se jette dans la mer à Marseille.
Visite de la grotte de la Castalette.
Fleurs : glaïeul sauvage, lys martagon en bouton.
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18H00, retour à l’hôtel, chacun vaque à ses occupations : piscine...
Dîner : 19H30

Terrine de foie
Légumes provençaux farcis
Cerises et glaces
Vin rosé local
Météorologie : beau temps, pas de pluie3ième JOUR, mardi 2 juin 2009 :
A 8H00, petit déjeuner
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9h00 départ pour le massif de la Sainte Baume. Montée acrobatique parmi les rochers. A 12H00 nous atteignons la crête à 900 m, nous déjeunons au pas de cabre. A 13H15, nous montons vers la chapelle du Rlon. Puis nous descendons et remontons vers la grotte de Marie Madeleine et le presbytère.
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A 16H00 nous sommes à l’Hostellerie.
A 17H00 nous visitons la chapelle Sainte Jeanne.
A 18H00 retour à l’hôtel : piscine...
Dîner : 19H30

Pâtes au pistou
Escalopes de saumon au fenouil
Parfait à la pêche et son coulis
A 21H30 coucher.
Météorologie : beau temps4ième JOUR, mercredi 3 juin 2009 :
A 8H00, petit déjeuner
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9h00 nous mettons nos sacs dans la voiture de l’hôtel.
Nous partons et montons vers le col de Bertagne puis descendons vers le vallon des Crides et le parc de Saint Pons qui abrite une abbaye classée.
Nous déjeunons à côté du ruisseau près de l’abbaye.
3 canards nous tiennent compagnie.
Puis nous visitons le sentier botanique en direction de Gémenos.
Nous apprenons à différencier le charme du hêtre.
La devise du jour : le charme d’Adam est d’hêtre à poils.
A Gémenos, nous prenons le bus pour Aubagne, puis pour Cassis. Arrivés à 17H30, nous nous installons dans l’hôtel Liautaud qui donne sur le port.
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Baignade à la plage située à 100m de l’hôtel.
A 20H00 direction le restaurant.
Dîner : 20H00

Soupe de poisson
Filets de rascasse
Mousse au chocolat ou gâteau
Météorologie : beau temps5ième JOUR, jeudi 4 juin 2009 :
Petit déjeuner dans la salle à manger de l’hôtel qui a vue sur le port.
A 8H45, rendez vous sur le port pour le départ en bateau.
Partage des pique-niques.
Nous prenons le bateau qui nous débarquera à la calanque de Morgiou.
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Nous découvrons les calanques de Saint Jean...etc...toutes plus belles les unes que les autres. Le mistral est très fort.
A 13h15, nous pique-niquons dans un endroit très venteux.
En chemin, nous rencontrons des groupes de pompiers marins en plein raid. Ils sont très sympathiques.
Nous rentrons à pied au milieu de la garrigue jusqu’à Cassis.
En chemin, nous croisons une perdrix, peut-être une bartavelle, il faudrait voir si elle a le ventre blanc.
Nous arrivons à Cassis à 18H00.
Dîner : 20H00

Moules marinières
Saumon avec pâtes
Gâteau au chocolat
Météorologie : beau temps6ième JOUR, vendredi 5 juin 2009 :
9h00 départ vers les calanques après quelques achats au marché de Cassis.
Nous traversons une carrière de pierres de cassis et redécouvrons Port Miou que nous longeons puis Port Pin.
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A 12h30, nous descendons vers la calanque d’en Vau.
Baignade puis déjeuner en compagnie de marins de l‘école de Saint Mandrier venus en kayaks.
Très sympathiques, ils nous offrent du rosé bien frais et une tarte aux pommes.
Nous repartons ensuite à 14h00 vers Cassis.
A 17h00, nous arrivons à Cassis où se déroule le tournage d’une série télévisée avec Ingrid Chauvin.
A 20h00, nous nous retrouvons au restaurant.
Chantal nous offre le vin blanc de Cassis pour arroser ses nouvelles chaussures de randonnée.Dîner : 20H00

Paëlla
Fromage
Salade de fruits ou tarte aux pommes
Le tout accompagné d’un rosé de cassis.
A 22h30, nous regagnons nos chambres.
Météorologie : beau temps